Histoire | l'Encyclopédie Canadienne

Naviguer "Histoire"

Afficher 766-780 de 842 résultats
  • Collection

    Traite des fourrures au Canada

    La traite des fourrures est une vaste entreprise commerciale dans l’étendue sauvage et boisée de ce que l’on connaît maintenant comme le Canada. Elle est à son apogée pendant près de 250 ans, des tout premiers débuts du 17e siècle jusqu’au milieu du 19e siècle. Soutenu principalement par le piégeage de castors pour subvenir à la demande européenne de chapeaux de feutre, ce commerce à forte concurrence ouvre les portes de l’exploration et de l’établissement...

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e4ec1e55-01c2-4b77-a220-f05a84fd4c9c.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e4ec1e55-01c2-4b77-a220-f05a84fd4c9c.jpg Traite des fourrures au Canada
  • Article

    Traite des fourrures au Canada (résumé en langage simple)

    La traite des fourrures a débuté au 17e siècle dans ce qui est aujourd’hui le Canada. Elle s’est poursuivie pendant plus de 250 ans. Les Européens commerçaient avec les peuples autochtones pour obtenir des peaux de castor. Cette industrie était alimentée par la forte demande en chapeaux de fourrure en Europe. La traite des fourrures est un des principaux motifs qui ont amené les Européens à explorer et coloniser le Canada. Elle est à l’origine des relations qui se sont établies entre les Européens et les peuples autochtones. (Cet article est un résumé en langage simple de la traite des fourrures. Si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet, veuillez consulter notre article complet: Traite des fourrures au Canada.)

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/article_files/fur-trade/c002771k.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/article_files/fur-trade/c002771k.jpg Traite des fourrures au Canada (résumé en  langage simple)
  • Article

    Réseaux des routes de traite des fourrures

    Durant toute l’époque de la traite des fourrures (du début du 17e jusqu’à la fin du 19e siècle), les cours d’eau ont été les « autoroutes » naturelles des trappeurs des Premières Nations et des négociants en fourrures européens. Des réseaux de cours d’eau reliaient les sociétés autochtones de l’Atlantique, de la vallée du fleuve Saint-Laurent, des Grands Lacs et du bassin de la baie d’Hudson. La géographie hydrique de l’Amérique du Nord a facilité les voyages à l’intérieur du continent, permis l’expansion et la colonisation européenne dans l’Amérique du Nord autochtone et façonné les relations entre Européens et Autochtones dans le contexte de la traite des fourrures. Ce vaste système de rivières, de lacs et de portages sillonnait les territoires autochtones et a été utilisé pendant des générations. Au plus fort de la traite des fourrures, la principale route de canot s’étendait de l’île de Montréal à l’ouest, à travers les Grands Lacs, et de la rive nord-ouest du lac Supérieur, en passant par les hautes terres, jusqu’au bassin de la baie d’Hudson. À partir du bassin du lac Winnipeg, les trappeurs autochtones et les négociants européens se rendaient dans les Prairies de l’Ouest en utilisant les rivières Assiniboine, Qu’Appelle et Souris, et jusqu’au pied des Rocheuses en utilisant les branches nord et sud de la rivière Saskatchewan, pour aboutir dans la région de l’Athabasca en passant par la rivière Sturgeon-weir et le portage La Loche.

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6a52818a-3f78-427a-a201-5e6bc9c5d874.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6a52818a-3f78-427a-a201-5e6bc9c5d874.jpg Réseaux des routes de traite des fourrures
  • Article

    Traité d'Oswegatchie (1760)

    Le Traité d’Oswegatchie de 1760 a été signé pendant la guerre de Sept Ans et il assurait la neutralité entre les Sept Nations (anciens alliés autochtones des Français) et les Britanniques (voir aussi Traités autochtones au Canada). 

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/813dff7d-8227-4201-9405-43db3b3e98c0.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/813dff7d-8227-4201-9405-43db3b3e98c0.jpg Traité d'Oswegatchie (1760)
  • Article

    Traité du canton de London (nº 6)

    Le Traité du canton de London de 1796 (aussi appelé Traité nº 6 dans le système de numérotation du Haut-Canada) est une des premières ententes territoriales signées entre les peuples autochtones et les autorités britanniques du Haut-Canada (Ontario actuel). Il fait partie de toute une série de cessions de terres du Haut-Canada. Le Traité du canton de London concerne un territoire de 12 mi2 (environ 31 km2) situé dans la partie sud-ouest de la colonie. À l’origine, les Britanniques ont acquis ce terrain dans le but d’y établir la capitale de la colonie, mais le choix s’est finalement porté sur York (aujourd’hui Toronto).

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/DundasLondonON.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/DundasLondonON.jpg Traité du canton de London (nº 6)
  • Article

    Traité du flétan

    Le Traité sur le flétan de 1923 (anciennement connu comme la Convention pour la conservation des pêcheries de flétan du Pacifique Nord) était un accord entre le Canada et les États-Unis sur les droits de pêche dans l’océan Pacifique. Il s’agissait du premier traité environnemental visant à conserver les stocks de poissons océaniques. Il s’agissait également du premier traité indépendant négocié et signé par le gouvernement canadien. Il représente l’un des nombreux événements qui ont fait du Canada un État souverain autonome. Il a également marqué un changement d’orientation économique du Canada de la Grande-Bretagne vers les États-Unis dans les années 1920, lorsque les États-Unis ont dépassé la Grande-Bretagne en tant que principal partenaire commercial du Canada. Le traité a créé la Commission internationale du flétan du Pacifique, qui continue de jouer son rôle aujourd’hui. 

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/HalibutTreaty/Pacific_halibut_range_2.png" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/HalibutTreaty/Pacific_halibut_range_2.png Traité du flétan
  • Article

    Traité d'Utrecht

    Cet accord est conclu le 11 avril 1713 à Utrecht, au Pays-Bas, entre la Grande-Bretagne et la France. Il fait partie d'une série de traités qui mettront fin à la guerre de la succession d'Espagne. 

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Utrecht.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Utrecht.jpg Traité d'Utrecht
  • Article

    Traité nº 9

    Le Traité nº 9 (également désigné sous le nom de Traité de la baie James) est l’un des 11 traités numérotés postérieurs à la Confédération négociés avec les peuples autochtones au Canada entre 1871 et 1921. (Voir Traités autochtones au Canada.) Signé en 1905-1906, le Traité nº 9 couvre la plus grande partie de l’Ontario actuel, au nord de la ligne de partage des eaux séparant le bassin hydrographique des Grands Lacs des bassins versants de la baie d’Hudson et de la baie James. Le Traité nº 9 a pour objet d’acheter les intérêts des Cris et des Ojibwés qui résident sur les terres et utilisent les ressources en vue de faire place à la colonisation blanche et au développement des ressources. Le Traité nº 9, à l’instar d’autres traités numérotés, contient certaines dispositions prévoyant des paiements en argent, la création de réserves, la mise en place d’un système d’éducation et la création de droits de chasse, de pêche et de piégeage .

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/ab3026d0-af94-42ad-bfc4-5a7775f728cc.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/ab3026d0-af94-42ad-bfc4-5a7775f728cc.jpg Traité nº 9
  • Article

    Traités autochtones au Canada (résumé en langage simple)

    Au Canada, les traités autochtones sont des ententes conclues entre la Couronne et les peuples autochtones (Premières Nations, Métis et Inuits). Ils visent la propriété des terres et font état d’échanges qui consistent pour les peuples autochtones à accepter de partager leurs terres moyennant divers paiements et diverses promesses. Avant la Confédération, c’est la Grande-Bretagne qui contrôle le processus d’élaboration des traités. Après la Confédération, c’est le gouvernement fédéral qui en assume le contrôle. (Cet article est un résumé en langage simple sur les traités autochtones au Canada. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, intitulé Traités autochtones au Canada).

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/122dc04b-d0a1-4551-a912-1bee8991746b.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/122dc04b-d0a1-4551-a912-1bee8991746b.jpg Traités autochtones au Canada (résumé en langage simple)
  • Article

    Traités nº 1 et 2

    Les Traités no 1 et 2 sont les premiers des 11 traités numérotés conclus entre 1871 et 1921. Le Traité no 1 a été signé le 3 août 1871 entre le Canada et la nation anichinabée et la nation moskégonne du sud du Manitoba. Le Traité no 2 a été signé le 21 août 1871 entre le Canada et la nation anichinabée du sud du Manitoba (voir Peuples autochtones des forêts de l’Est au Canada). Pour les représentants du Canada, les traités étaient une façon de faciliter la colonisation de l’ouest du territoire et l’assimilation des peuples autochtones dans la société eurocanadienne (voir Traités autochtones au Canada). De leur côté, les Autochtones visaient à protéger leurs terres ancestrales et leurs moyens d’existence, ainsi qu’à recevoir du soutien pendant leur transition vers un nouveau mode de vie. Les Traités no 1 et 2 englobaient ces objectifs divergents. Ils ont engendré une série de problèmes non résolus en raison des différentes idées de leur contenu que se faisaient les participants autochtones et eurocanadiens.

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/d1c2f761-fbf1-4630-915e-9196456f8635.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/d1c2f761-fbf1-4630-915e-9196456f8635.jpg Traités nº 1 et 2
  • Article

    Traités Robinson de 1850

    En septembre 1850, les Anishinaabeg (Ojibwés) des hauts Grands Lacs ont signé deux traités distincts mais interreliés: le traité Robinson-Supérieur et le traité Robinson-Huron, qui accordaient à la province du Canada (Canada‑Est et Canada-Ouest, les futurs Québec et Ontario) l’accès aux rives nord des lacs Huron et Supérieur aux fins de la colonisation et de l’extraction minière. En échange, les peuples autochtones obtenaient la reconnaissance de leurs droits de chasse et de pêche, une annuité (paiement annuel) et des terres de réserve pour chaque groupe signataire dans les territoires cédés. Par leur interprétation, les traités Robinson ont eu des répercussions juridiques et socioéconomiques sur les communautés autochtones et les établissements de colons, et ils ont servi de précédents aux ententes à venir, celles des traités numérotés.

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/RobinsonTreatiesof1850/Robinson_Treaties_Lands_Returned.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/RobinsonTreatiesof1850/Robinson_Treaties_Lands_Returned.jpg Traités Robinson de 1850
  • Article

    Traités Williams

    Les traités Williams sont signés en octobre et novembre 1923 par les gouvernements du Canada et de l’Ontario ainsi que par sept Premières Nations faisant partie des Chippaouais du lac Simcoe (Beausoleil, île Georgina et Rama) et des Mississaugas de la rive nord du lac Ontario (Alderville, lac Curve, Hiawatha et île Scugog). En vertu de ces accords, qui constituent les derniers traités historiques de cession de terres au Canada, plus de 20 000 km2 de terres situées dans le centre-sud de l’Ontario sont transférés à la Couronne; en échange, les signataires autochtones reçoivent des paiements uniques en espèces. Alors que les Chippaouais et les Mississaugas soutiennent que les traités Williams leur garantissent également le droit de chasser et de pêcher sur le territoire, les gouvernements fédéral et provincial en ont une interprétation différente, ce qui entraîne des différends juridiques et mène à des négociations territoriales entre les trois parties. En 2018, les Premières Nations signataires des Traités Williams et les gouvernements de l’Ontario et du Canada sont parvenus à un accord définitif, réglant ainsi un litige sur la cession des terres et les droits de récolte.

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/345446e9-d0d1-4626-9702-e214ca87a8a7.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/345446e9-d0d1-4626-9702-e214ca87a8a7.jpg Traités Williams
  • Article

    Transgender Archives de l'Université de Victoria

    Les archives sur les personnes transgenres de l’Université de Victoria sont considérées comme la plus importante collection au monde de documents historiques et de matériel ayant trait à la recherche et à l’activisme sur les personnes transgenres (voir Sources historiques). Aaron Devor, titulaire de la chaire d’études transgenres à l’Université de Victoria, est le fondateur et l’expert en la matière relativement à ces archives, officiellement ouvertes en 2011. Les archives ont pour but de préserver l’histoire et la recherche sur les personnes transgenres et les autres personnes diversifiées sur le plan du genre. (Voir aussi Droits des lesbiennes, des gais, des bisexuels et des transgenres au Canada; Bispiritualité; Culture queer.)

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6483ddf2-6bee-4d0b-a2b1-142ae795176c.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6483ddf2-6bee-4d0b-a2b1-142ae795176c.jpg Transgender Archives de l'Université de Victoria
  • Article

    Travels and Adventures in Canada and the Indian Territories between the Years 1760 and 1776

    Travels and Adventures in Canada and the Indian Territories between the Years 1760 and 1776 (New York, 1809; Toronto, 1901) est un récit d'Alexander Henry, dit l'Ancien, un des premiers Britanniques à s'aventurer dans les territoires indiens de l'Ouest après la défaite des Français à Québec.

    "https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Travels and Adventures in Canada and the Indian Territories between the Years 1760 and 1776
  • Article

    Traité nº 10

    ​Le Traité no 10 est le 10e des 11 traités numérotés, signé par le gouvernement canadien et les peuples autochtones habitant le nord de la Saskatchewan et de l’Alberta entre 1906 et 1907. Le Traité no 10 vise près de 220 000 kilomètres carrés de ces deux provinces. Les dispositions du Traité no 10 continuent d’affecter les communautés autochtones de la région, tant sur les plans juridiques que socioéconomiques.

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/22da8ac5-1905-4c28-ad2e-c9f55c67c7aa.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/22da8ac5-1905-4c28-ad2e-c9f55c67c7aa.jpg Traité nº 10