Histoire | l'Encyclopédie Canadienne

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  • Article

    Laurentie

     Nom donné par les géologues à la masse de terre qui, il y a entre 600 et 500 millions d'années, englobait l'est de l'Amérique du Nord, la quasi-totalité de l'Europe et une bonne partie de l'Asie. Certains auteurs se sont également servis du terme de « Laurentie » pour désigner un Québec utopique.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6e559a82-fa39-4e67-8505-cd188e83d9d0.jpg Laurentie
  • Article

    Le 11 septembre et le Canada

    Les attaques terroristes ayant eu lieu aux États-Unis le 11 septembre 2001 ont des effets profonds et immédiats sur le Canada. En effet, quelque 24 Canadiens meurent lors de ces attaques aussi appelées attentats du 11 septembre. De plus, quand les États-Unis décident de fermer leur espace aérien, des centaines d’avions transportant des milliers de passagers sont déroutés vers les aéroports canadiens. Enfin, dans les semaines qui suivent, le Canada adopte des lois antiterroristes controversées et envoie ses premières troupes en Afghanistan dans le cadre de la « lutte contre le terrorisme ».

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e924ba5e-1db8-4d44-9110-b2187f89724a.jpg Le 11 septembre et le Canada
  • Éditorial

    Le Bluenose : « Je l’ai construit pour qu’il cingle »

    En tant que symbole du Canada atlantique et de l’âge héroïque de la voile, le Bluenose est unique. Il est mis à la mer à Lunenberg, en Nouvelle-Écosse, le 26 mars 1921. Entièrement construit en bois de la Nouvelle-Écosse, sauf les mâts qui nécessitaient du pin de l’Orégon, dit fausse pruche, le Bluenose danse fièrement sur l’eau, mais s’assagit et exhibe sa ligne superbe quand il est lesté. Après les touches finales, on demande au charpentier de marine : « Comment va être celui-ci? » Il se contente de dire : « Il va être correct, mais il est un peu différent des autres bateaux. »

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6276098d-b5ff-4f09-8c3a-f5b0396274b0.jpg Le Bluenose : « Je l’ai construit pour qu’il cingle »
  • Article

    Le Canada et la bataille de l’Escaut

    La bataille de l’Escaut s’est déroulée dans le nord de la Belgique et le sud-ouest des Pays-Bas en 1944, pendant la Deuxième Guerre mondiale. Elle fait partie de la campagne des Alliés pour libérer le nord-ouest de l’Europe et vaincre l’Allemagne nazie. La Première Armée canadienne a joué un rôle de premier plan pour chasser les forces allemandes de l’Escaut et ouvrir une ligne d’approvisionnement cruciale à partir du port d’Anvers. Toutefois, cette victoire a eu un prix : la bataille a fait près de 13 000 victimes parmi les Alliés, dont plus de 6 300 Canadiens.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/BattleScheldt/Graves_Battle_Scheldt.jpg Le Canada et la bataille de l’Escaut
  • Article

    Le Canada et la guerre des gaz

    Des gaz toxiques ont été utilisés au cours de la Première Guerre mondiale par presque toutes les armées. Leur utilisation répandue était une première dans l’histoire de la guerre. Les différents types de gaz, distribués à l’aide de bonbonnes, de projecteurs ou d’obus, faisaient des morts et des blessés, et sapaient le moral. En 1918, les soldats de toutes les armées essuyaient régulièrement des attaques de gaz sur le front de l’Ouest. Les soldats canadiens ont été parmi les premiers à faire l’expérience des nuages toxiques à la deuxième bataille d’Ypres, en avril 1915. Au moins 11 572 soldats canadiens ont été tués ou blessés par des gaz toxiques, même si nombre d’entre eux se voient refuser une pension après la guerre. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, les armes chimiques ne sont pas utilisées sur le champ de bataille; toutefois, la station expérimentale Suffield, en Alberta, met au point et teste des armes chimiques et biologiques dès 1941. À partir environ du milieu du 20e siècle, des responsables canadiens interviennent sur la scène internationale en faveur de l’interdiction des armes chimiques. À la fin des années 1990, le Canada signe la Convention sur les armes chimiques (voir Contrôle des armes et désarmement).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/GasWarfare/a002897-v8.jpg Le Canada et la guerre des gaz
  • Article

    Le Canada et les armes de destruction massive

    Le Canada a une histoire longue et compliquée en rapport avec les armes de destruction massive. Des soldats canadiens ont été attaqués avec des armes chimiques, et les ont aussi utilisées de manière offensive. (Voir Le Canada et la guerre des gaz.) Le Canada a mené des recherches pour mettre au point des armes chimiques, biologiques et nucléaires, mais aussi pour s’en défendre. Certaines armes chimiques ont été testées au Canada et sur des Canadiens, entraînant des conséquences à long terme. Le Canada a également joué un rôle important dans le développement des armes nucléaires. (Voir Le Canada et le Projet Manhattan.) Le pays a employé des armes nucléaires, dans un but principalement défensif, pendant la Guerre froide. Le Canada a signé des accords internationaux afin de limiter l’utilisation de ces armes. Aujourd’hui, le Canada ne possède plus d’armes de destruction massive. Cependant, le pays est membre de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord et de NORAD, des alliances qui utilisent des armes nucléaires et d’autres armes de destruction massive.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/fe8757c3-dd58-4969-92f1-316d16aa4e6c.jpg Le Canada et les armes de destruction massive
  • Article

    Canada-Ouest

    En1841, la Grande‑Bretagne réunit les colonies du Haut‑Canada et du Bas‑Canada pour former la Province du Canada. Cette décision est prise en réponse aux violentes rébellions de1837‑1838. Le rapport Durham de1839 formule un certain nombre de recommandations en vue de créer une nouvelle colonie qui sera effectivement mise en place, en1840, dans le cadre de l’Acte d’Union. La Province du Canada est composée du Canada‑Ouest (anciennement le Haut‑Canada) et du Canada‑Est (anciennement le Bas‑Canada). Jusqu’en1867, date de naissance de la Confédération qui verra le Canada‑Ouest devenir l’Ontario et le Canada‑Est le Québec, les deux régions sont gouvernées conjointement.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Canada-Ouest
  • Article

    Canal de Lachine

    Le canal de Lachine traverse une part de l’île de Montréal, du Vieux-Port jusqu’au sud de l’arrondissement de Lachine, où il se jette dans le lac Saint-Louis.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/3cff11c1-33f8-46e7-a459-1dcfb3bd09e1.jpg Canal de Lachine
  • Article

    Château Ramezay

    Situé dans le Vieux-Montréal, le Château Ramezay est le premier édifice à être classé monument historique par le gouvernement du Québec en 1929. Reconnu comme lieu historique national du Canada en 1949, ce musée montréalais présente des collections et des expositions qui permettent aux visiteurs de s’initier à plus de 500 ans d’histoire.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/0e53d9e8-0dcd-402a-ae45-4a6207d2455e.jpg Château Ramezay
  • Éditorial

    Éditorial : La défection d'Igor Gouzenko

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. Un coup frappé à la porte de l’appartement l’arrête net. Un autre coup, plus fort, plus insistant est suivi d’un martèlement. Une voix prononce plusieurs fois son nom. Enfin, le martèlement cesse et les pas s’éloignent dans l’escalier. Il savait qu’il allait avoir besoin d’aide.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/ef877228-646a-42e0-8096-b939feb24100.jpg Éditorial : La défection d'Igor Gouzenko
  • Article

    La crête de Vimy

    La bataille de la crête de Vimy lors de la Première Guerre mondiale occupe une place privilégiée parmi les événements fondateurs de la nation canadienne. Il s’agit à la fois d’un triomphe – une victoire capitale des Alliés après une longue impasse sanglante – et d’une tragédie. Durant des combats de quatre jours, 3 598 Canadiens sont tués et 7 004 blessés. Voilà plus d'un siècle que cette bataille a pris fin le 12 avril 1917 et, tout au long de cette période, l’événement a acquis une autre dimension, confinant au mythe. Le brigadier-général canadien A.E. Ross déclare ainsi à propos de cette victoire : « Pendant ces quelques minutes, j’ai assisté à la naissance d’une nation. »

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/16f32862-4f2b-488d-935e-7b4fcf5a5d64.jpg La crête de Vimy
  • Article

    Le désastre du NCSM Kootenay

    Le NCSM Kootenay était un destroyer de la marine du Canada. En 1969, un accident en mer tue 9 marins et en blesse 53.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/ced5f338-fcf3-463a-9627-1da6d7794b5e.jpg Le désastre du NCSM Kootenay
  • Éditorial

    Le désastre du pont de Québec

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/fbaea59f-792e-4866-9bbf-05641728ca4f.jpg Le désastre du pont de Québec
  • Éditorial

    Le passage du Nord-Ouest : du mythe à la réalité

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Le passage du Nord-Ouest : du mythe à la réalité
  • Article

    Éditorial : Le drapeau de George Stanley et le « symbole nettement canadien »

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. Le premier ministre Lester Pearson et John Matheson, un de ses députés libéraux, sont généralement considérés comme les pères du drapeau du Canada. En 2015, leurs noms ont été au cœur des hommages et des commémorations qui marqueront le 50e anniversaire de la création du drapeau. On oublie cependant souvent le rôle joué dans la naissance de ce symbole emblématique par George Stanley.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/a9adffc5-8796-4968-ac52-ab33df0fe6eb.jpg Éditorial : Le drapeau de George Stanley et le « symbole nettement canadien »