Histoire | l'Encyclopédie Canadienne

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    Coquelicot du jour du Souvenir

    Le coquelicot est le symbole du jour du Souvenir, inspiré par le poème « Au champ d’honneur », écrit par le lieutenant-colonel John McCrae. Le Canada a officiellement adopté le coquelicot comme symbole du Souvenir en 1921. La Légion royale canadienne vend des coquelicots à épingle que des millions de Canadiens portent durant plusieurs semaines avant le 11 novembre.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/064a5591-1989-4fac-b81e-7bd9099c8053.jpg Coquelicot du jour du Souvenir
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    Cornwallis Statue

    Une statue d’Edward Cornwallis, le colon fondateur d’Halifax, est érigée dans le centre-ville en 1931 pour célébrer la colonisation britannique. La statue devient, plus tard, un objet de controverse au milieu d’un débat public grandissant sur la façon dont Edward Cornwallis a traité le peuple mi’kmaq.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/ed63b8c0-720a-42b2-a875-2ea9d0dc48f4.jpg Cornwallis Statue
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    Corridart (1976)

    Corridart dans la rue Sherbrooke était une suite d’installations artistiques exposées, sur plusieurs kilomètres, le long de la rue Sherbrooke. Organisée par Melvin Charney, elle avait été commandée à l’occasion des Jeux olympiques d’été de 1976 à Montréal. Elle comprenait 16 installations majeures, environ 80 installations mineures, ainsi que plusieurs petits lieux consacrés à des spectacles et à des projets connexes. Financée par le ministère de la Culture du Québec, elle se voulait une vitrine internationale pour les artistes québécois. Toutefois, environ une semaine après son dévoilement, le maire de Montréal Jean Drapeau a ordonné sa destruction, au motif qu’elle était indécente. À la suite de cette décision, la plupart des artistes n’ont pu récupérer leurs œuvres. Le maire ne s’est jamais excusé et les actions en justice qui ont suivi se sont poursuivies sur plus d’une décennie. Compte tenu de la taille, de la portée et du budget de l’exposition, le démantèlement de Corridart pourrait constituer le cas de censure artistique le plus important de toute l’histoire du Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/Corridart/28227397421_ff154dcc56_c.jpg Corridart (1976)
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    Côte française

    La côte française désigne la partie des côtes de Terre-Neuve où les pêcheurs français ont bénéficié, de 1713 à 1904, de droits issus d'un traité signé avec les Britanniques.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Côte française
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    Coureurs des bois

    Les coureurs des bois étaient des commerçants itinérants qui s’adonnaient sans permis à la traite des fourrures en Nouvelle-France. Les Anglais de la baie d’Hudson les appelaient wood-runners et les Anglo-Hollandais de New York, bush-lopers. Contrairement aux voyageurs, qui étaient autorisés à transporter des marchandises aux postes de traite, les coureurs des bois étaient considérés en quelque sorte comme des hors-la-loi parce qu’ils n’avaient pas de permis délivré par les autorités coloniales. Libres et indépendants, ils ont joué un rôle important dans l’exploration européenne du continent et ont établi des relations commerciales essentielles avec les peuples autochtones.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/2a01defb-42f2-4ad3-b7f1-cf7966378002.jpg Coureurs des bois
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    Courir

    Le roman Run (2003) d’Eric Walters est un récit fictif à propos du Marathon de l’espoir de Terry Fox. Le livre raconte l’histoire de Winston MacDonald, un jeune homme troublé, qui s’inspire de Terry Fox, après s’être lié d’amitié avec lui en 1980, afin de cesser de fuir ses problèmes. Run est à la fois le premier livre pour jeunes adultes et le premier livre fictif sur Terry Fox à être approuvé par la famille Fox. Les droits d’auteur provenant des ventes du livre Run sont versés à la Fondation Terry Fox. La version audio du roman a reçu le prix Torgi dans la catégorie Books in Alternative Formats, en 2004.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Courir
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    Couronne

    Dans une monarchie, la Couronne est un concept ou encore un symbole abstrait qui représente l’État et son gouvernement. Dans une monarchie constitutionnelle comme le Canada, la Couronne est une source d’autorité non partisane et souveraine. Elle fait partie intégrante des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire qui régissent le pays. En vertu du système canadien de gouvernement responsable, la Couronne accomplit chacune de ces fonctions par l’entremise des députés fédéraux, des ministres ou des juges, ou alors agit en suivant les conseils de ceux-ci. En sa qualité d’incarnation vivante de la Couronne, le monarque, dans ce cas-ci le roi Charless III, agit à titre de chef d’État. Le roi et ses représentants vice-royaux — le gouverneur général au fédéral et les lieutenants-gouverneurs dans les provinces — possèdent des privilèges historiques appelés prérogatives, qui peuvent être utilisés sans l’approbation du gouvernement; ces privilèges sont cependant rarement utilisés. Le roi et ses représentants occupent également des fonctions cérémonielles en tant que chef d’État.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Royal_Coat_of_Arms_of_the_United_Kingdom.svg.png Couronne
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    Couverture à points de la Compagnie de la Baie d’Hudson

    La couverture à points de la Compagnie de la Baie d’Hudson (CBH) est une couverture de laine dotée de bandes et de points (marqueurs sur l’étoffe) conçue pour la première fois pour la CBH en 1779. Le modèle le mieux connu est blanc et affiche des bandes vertes, rouges, jaunes et indigo, soit les couleurs aujourd’hui emblématiques du commerce. Bien que la CBH ne soit pas à l’origine de la création de la couverture à points, elle est responsable de sa popularisation chez les communautés autochtones et coloniales du Canada. Aujourd’hui, le motif de la couverture est utilisé sur une grande variété de vêtements, d’accessoires et d’objets ménagers vendus par la Compagnie.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/HBCpointblanket/HBC point blanket (2).jpg Couverture à points de la Compagnie de la Baie d’Hudson
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    L’Achat de Crawford

    L’Achat de Crawford de 1783 est l’un des plus anciens accords territoriaux conclus entre les autorités britanniques et les peuples autochtones au Haut-Canada (aujourd’hui l’Ontario). Il permet aux loyalistes cherchant refuge et aux Autochtones ayant combattu aux côtés des Britanniques pendant la Révolution américaine de coloniser une grande étendue de terres sur la rive nord du fleuve Saint-Laurent et à l’est du lac Ontario. L’Achat de Crawford est l’une des nombreuses ententes conclues aux 18e et 19e siècles, regroupées sous le nom des Cessions de terres du Haut-Canada. (Voir aussi Traités autochtones au Canada.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/UCLS/345446e9-d0d1-4626-9702-e214ca87a8a7.jpg L’Achat de Crawford
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    La crise des années 1930 au Canada

    La crise économique des années 1930 est un choc économique et social aux répercussions mondiales. Peu de pays sont frappés aussi durement que le Canada. En effet, des millions de Canadiens se retrouvent sans emploi, sans abri et dans le besoin. La décennie est surnommée « les sales années 1930 », en raison d’une sécheresse dévastatrice dans les Prairies, ainsi que de la dépendance du Canada aux exportations de matériel brut et de produits agricoles. La perte d’emploi et de revenus partout au pays mène à la création de l’assistance sociale et à la montée des mouvements populaires. En outre, elle oblige le gouvernement à jouer un rôle plus actif à l’égard de l’ économie. (Ce texte est l’article complet sur la crise des années 1930 au Canada. Si vous souhaitez en lire un résumé en termes simples, veuillez consulter : La crise des années 1930 au Canada (résumé en langage simple).)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/cc8df85f-c925-4f6f-91e1-7403bcb85345.jpg La crise des années 1930 au Canada
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    Crise des missiles cubains

    La crise des missiles cubains a duré du 16 au 28 octobre 1962. L’Union soviétique avait stationné des missiles nucléaires à Cuba, ce qui constituait une menace pour les États-Unis et le Canada. Le monde entier s’est trouvé au bord d’une guerre nucléaire. Les Forces armées canadiennes ont été mises en état d’alerte accrue. La réponse hésitante du premier ministre John Diefenbaker envers la crise a détérioré les relations déjà tendues entre le Canada et les États-Unis, et a mené à la chute de son gouvernement en 1963.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/CubanMissileCrisis/578px-Kubkrise1962MRBMSite3.jpg Crise des missiles cubains
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    Crise d'Octobre

    La crise d’Octobre fait référence à une série d’événements qui se sont déroulés au Québec à l’automne 1970. Cette crise est le point culminant d’une longue série d’attentats terroristes perpétrés par le Front de libération du Québec (FLQ), un mouvement indépendantiste militant, entre 1963 et 1970. Le 5 octobre 1970, le FLQ a kidnappé l’attaché commercial britannique James Cross à Montréal. Au cours des deux semaines suivantes, des membres du FLQ ont également kidnappé et assassiné le ministre de l’Immigration et du Travail du Québec, Pierre Laporte. Le premier ministre du Québec, Robert Bourassa et le maire de Montréal, Jean Drapeau, ont demandé l’aide du fédéral pour faire face à la crise. En réponse, le premier ministre Pierre Trudeau a déployé les forces armées et a invoqué la Loi sur les mesures de guerre, la seule occasion où elle a été appliquée en temps de paix dans l’histoire du Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/c8a1d56b-60f5-40b0-86e2-3ce31bc3e7b0.jpg Crise d'Octobre
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    Crise d'Octobre (résumé en langage simple)

    La crise d’Octobre se produit à l’automne 1970. Elle est déclenchée par le Front de libération du Québec (FLQ). Le FLQ recourt à des tactiques terroristes pour tenter de rendre le Québec indépendant du Canada. Le 5 octobre, le FLQ kidnappe James Cross, un attaché commercial britannique. Plus tard, il enlève aussi Pierre Laporte, un ministre du gouvernement du Québec. Le premier ministre Pierre Elliott Trudeau impose alors la Loi sur les mesures de guerre. Cette loi n’avait jamais été utilisée en temps de paix auparavant. Son imposition mène à la suspension des libertés civiles et à des centaines d’arrestations. Pierre Laporte est assassiné et retrouvé le 17 octobre. James Cross, pour sa part, est libéré le 3 décembre. La crise prend fin le 28 décembre, lors de la capture des meurtriers de Pierre Laporte. (Cet article est un résumé en langage simple sur la crise d’Octobre. Si vous voulez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral : Crise d’Octobre.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/PA-129838-curious-children.jpg Crise d'Octobre (résumé en langage simple)
  • Macleans

    Croatia Fights Back

    Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (21/08/1995)

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Croatia Fights Back
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    Croix de Saint-Louis

     Au Canada, le premier à obtenir cette décoration est Louis-Hector de CALLIÈRE (1694); Louis de Buade de FRONTENAC la reçoit en 1697. Le premier chevalier canadien est Pierre Le Moyne d'la reçoit en 1697. Le premier chevalier canadien est Pierre Le Moyne d'IBERVILLE (1699).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/22f54a67-0b82-4032-a05c-ab1245eb0f3f.jpg Croix de Saint-Louis