Places | l'Encyclopédie Canadienne

Naviguer "Places"

Afficher 121-135 de 2288 résultats
  • Article

    Bas-Canada

    Le Bas-Canada a été une colonie britannique de 1791 à 1840, formée de la partie méridionale de l’actuelle province de Québec. En 1791, la Grande-Bretagne divise la Province de Québec en deux parties : le Haut-Canada et le Bas-Canada (voir Acte constitutionnel de 1791). L’Angleterre a adopté cette même politique de division territoriale deux fois auparavant, lors de la séparation de l’Île-du-Prince-Édouard de la Nouvelle-Écosse en 1769 ; et en 1784, après une vague d’immigration loyaliste (ayant aussi touché le Québec), lors de la création des provinces du Cap-Breton et du Nouveau-Brunswick. Le Haut-Canada et le Bas-Canada sont renommés Canada-Ouest et Canada-Est respectivement, avant d’être réunis en 1841 en une seule colonie, la Province du Canada.

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/0a40188b-4ef4-4e9e-90bb-ec21d39c1c45.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/0a40188b-4ef4-4e9e-90bb-ec21d39c1c45.jpg Bas-Canada
  • Article

    Bas-Caraquet

    Bas-Caraquet, village du N.-B.; pop. 1380 (recens. 2011), 1471 (recens. 2006), const. en 1966. Bas-Caraquet est situé à 7 km à l'est de Caraquet.

    "https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Bas-Caraquet
  • Article

    Basilique-cathédrale Notre-Dame de Québec

    L’église Notre-Dame de Québec est une basilique-cathédrale qui a le statut de primatiale (église mère d’un primat de l’Église catholique du Canada, en l’occurrence l’archevêque de Québec). Elle est aussi le siège de l’archidiocèse métropolitain de Québec.

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6a73eb44-33c1-41c9-9e6f-4d4f853b2e7e.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6a73eb44-33c1-41c9-9e6f-4d4f853b2e7e.jpg Basilique-cathédrale Notre-Dame de Québec
  • Article

    Basilique Notre-Dame de Montréal

    La Basilique Notre-Dame de Montréal est située à l’intersection des rues Notre-Dame Ouest et Saint-Sulpice dans l’arrondissement de Ville-Marie. Ce joyau du patrimoine religieux québécois est érigé par les Sulpiciens afin de servir d’église paroissiale. Construite de 1824 à 1829, Notre-Dame de Montréal est un des plus anciens exemples d’architecture religieuse de style néo-gothique au Canada. Cette construction hardie et novatrice à l’échelle alors inégalée en Amérique du Nord est due à James O’Donnell, un architecte irlandais originaire de New York. Sa décoration intérieure réalisée sous la supervision de Victor Bourgeau, de même que la richesse de ses ornements, sont uniques et suscitent chez le visiteur un réel émerveillement. Elle est d’ailleurs l’un des attraits touristiques majeurs de la Ville de Montréal.

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e0e4475d-ea0c-44c7-ab1c-4b49eb8f9dcc.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e0e4475d-ea0c-44c7-ab1c-4b49eb8f9dcc.jpg Basilique Notre-Dame de Montréal
  • Article

    Basses-terres de la rivière de la Paix

    À l'époque où les CASTORS (Athapaskans) occupent la région, avant les explorations et la colonisation par les Européens au 19 siècle, la plus grande partie des basses-terres de la rivière de la Paix est recouverte d'une forêt de peupliers faux-trembles.

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/13c13382-db21-45b1-a110-45d06d282f6e.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/13c13382-db21-45b1-a110-45d06d282f6e.jpg Basses-terres de la rivière de la Paix
  • Article

    Basses terres du Saint-Laurent

    Quand on parle des basses terres du Saint-Laurent on entend la plaine qui borde le fleuve Saint-Laurent entre la ville de Québec, à l'est, et Brockville, en Ontario, à l'ouest. À l'ouest, cette plaine comprend la vallée de l'Outaouais jusqu'à Renfrew, en Ontario.

    "https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Basses terres du Saint-Laurent
  • Article

    Bassin d'Old Crow

    PrécédentSuivant Bassin d'Old Crow Le bassin d'Old Crow est une aire géographique importante dans l'histoire naturelle et humaine du Canada. Il s'agit de la plus vaste des quatre plaines intérieures du nord du Yukon (les autres sont les bassins de Bluefish, de Bell et de BONNET PLUME). Les sédiments qui se sont accumulés dans ces bassins ont formé des dépôts profonds qui ont recouvert et conservé les restes de nombreuses variétés de plantes et d'animaux,...

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/3372115f-2e5f-492c-a1d9-de73d4668939.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/3372115f-2e5f-492c-a1d9-de73d4668939.jpg Bassin d'Old Crow
  • Article

    Bassin hydrographique

    Un bassin hydrographique est un territoire qui déverse l’eau qu’il a reçue sous forme de précipitations vers un cours d’eau ou un réseau hydrographique de cours d’eau.

    "https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Bassin hydrographique
  • Macleans

    Bata Shoe Museum Opens (en anglais seulement)

    Cet article provient du magazine Maclean’s. Il est uniquement disponible en anglais.Cet article a été initialement publié dans le magazine Macleans (15/05/1995)

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/b688f437-e48f-4c47-bd7f-b465474d1c83.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/b688f437-e48f-4c47-bd7f-b465474d1c83.jpg Bata Shoe Museum Opens (en anglais seulement)
  • Article

    Bataille de la crête de Vimy

    La bataille de la crête de Vimy, pendant la Première Guerre mondiale, s’est déroulée sur le front Ouest, dans le nord de la France, du 9 au 12 avril 1917. Elle constitue la victoire militaire canadienne la plus célébrée, allant parfois jusqu’à être considérée comme le symbole quasiment mythique de l’émergence du sentiment et de la fierté d’appartenir à la nation canadienne. Les quatre divisions du Corps canadien, combattant ensemble pour la première fois, ont attaqué la crête du 9 au 12 avril 1917 et ont réussi à l’arracher des mains de l’armée allemande. Bien que cet exploit ait constitué, à ce moment-là de la guerre, l’avancée territoriale la plus importante jamais réalisée par les forces alliées, il n’aura finalement que peu d’influence sur le résultat du conflit. Plus de 10 600 Canadiens ont été tués ou blessés pendant l’assaut. De nos jours, un monument emblématique blanc, érigé au sommet de la crête, rend hommage aux 11 285 Canadiens tués en France pendant toute la guerre et restés sans sépulture. Ce texte est l’article intégral sur la bataille de la crête de Vimy. Si vous souhaitez lire un résumé en langage simple, veuillez consulter l’article Bataille de la crête de Vimy (résumé en langage simple).

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/a9aa6aaf-406d-4a4d-89a3-95d86d7359ca.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/a9aa6aaf-406d-4a4d-89a3-95d86d7359ca.jpg Bataille de la crête de Vimy
  • Article

    Le jour J et la bataille de Normandie

    La bataille de Normandie de 1944, du débarquement du jour J, le 6 juin, à l’encerclement de l’armée allemande à Falaise, le 21 août, est l’un des événements décisifs de la Deuxième Guerre mondiale et la scène de certains des plus grands exploits militaires du Canada. Les marins, soldats et aviateurs canadiens ont joué un rôle de premier ordre dans l’invasion de la Normandie par les Alliés, aussi appelée opération Overlord, qui sonnait le début d’une sanglante mission pour libérer l’Europe de l’Ouest de l’occupation nazie. Près de 150 000 troupes alliées atterrissent ou sont parachutées dans la zone d’invasion au jour J, dont 14 000 Canadiens à Juno Beach. La Marine royale canadienne contribue à hauteur de 110 navires et 10 000 soldats, et l’ARC fournit 15 escadrons de chasseurs et de chasseurs-bombardiers pendant l’assaut. Le nombre de victimes alliées pendant le jour J s’élève à plus de 10 000, y compris 1 074 Canadiens. De ce nombre, 359 sont tués. À la fin de la bataille de Normandie, les Alliés accusent des pertes de 209 000 soldats, dont 18 700 Canadiens. Plus de 5 000 soldats canadiens décèdent.

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/bb05eb99-e533-4e8d-aafe-6ae70bdbf472.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/bb05eb99-e533-4e8d-aafe-6ae70bdbf472.jpg Le jour J et la bataille de Normandie
  • Article

    Bataille de Passchendaele

    La bataille de Passchendaele, aussi connue sous le nom de troisième bataille d’Ypres, a été livrée pendant la Première Guerre mondiale, du 31 juillet au 10 novembre 1917. Elle a eu lieu sur le saillant d’Ypres sur le front occidental, en Belgique, où les armées allemandes et alliées avaient été immobilisées depuis trois ans. Le 31 juillet, les Britanniques entreprennent une nouvelle offensive, tentant de briser les lignes allemandes en saisissant une crête près du village en ruines de Passchendaele. Le 26 octobre, après l’échec des troupes britanniques, australiennes et néozélandaises à l’attaque, le Corps canadien s’est engagé dans la bataille. Le 6 novembre, les Canadiens ont capturé la crête, malgré un pilonnage d’artillerie et une pluie abondante qui a transformé le champ de bataille en bourbier. Près de 16 000 Canadiens ont été tués ou blessés. La bataille de Passchendaele n’a eu aucun effet réel sur les efforts des Alliés, et est devenue un symbole des massacres insensés de la Première Guerre mondiale.

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/a91703c5-8a80-4e21-8ba2-c6fabc0343b4.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/a91703c5-8a80-4e21-8ba2-c6fabc0343b4.jpg Bataille de Passchendaele
  • Article

    Bataille des plaines d’Abraham (résumé en langage simple)

    La bataille des plaines d’Abraham s’est déroulée le 13 septembre 1759. Les plaines d’Abraham se trouvent dans la ville de Québec. La bataille opposait les Français, ainsi que leurs alliés autochtones, et les Britanniques. Les Britanniques ont gagné. Cette bataille a été une défaite majeure pour les Français. Peu après, la France a perdu le Québec. En 1763, la France a cédé l’ensemble du Canada à la Grande-Bretagne. L’ère de la Nouvelle-France était terminée. Jusqu’à la Confédération, en 1867, la Grande-Bretagne a contrôlé les colonies qui allaient devenir le Canada. (Voir Confédération (résumé en langage simple).) (Cet article est un résumé en langage simple sur la bataille des plaines d’Abraham. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, intitulé Bataille des plaines d’Abraham.)

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/Taking_of_Quebec.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/Taking_of_Quebec.jpg Bataille des plaines d’Abraham (résumé en langage simple)
  • Article

    Bataille des plaines d’Abraham

    La bataille des plaines d’Abraham (13 septembre 1759), aussi appelée bataille de Québec, a été un moment charnière de la guerre de Sept Ans et de l’histoire du Canada. Une force d’invasion britannique, menée par le général James Wolfe, a vaincu les troupes françaises dirigées par le marquis de Montcalm, ce qui a mené à la reddition de la ville de Québec aux Britanniques. Les deux commandants sont morts de blessures subies lors de la bataille. Les Français n’ont jamais repris la ville de Québec, et ils ont perdu le contrôle de la Nouvelle-France en 1760. À la fin de la guerre, en 1763, la France a cédé un bon nombre de ses possessions coloniales aux Anglais, incluant le Canada. (Ce texte est l’article complet sur la bataille des plaines d’Abraham. Si vous souhaitez en lire un résumé en termes simples, veuillez consulter : Bataille des plaines d’Abraham (résumé en langage simple).)

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/ea7e8555-9481-4ebb-9585-dc9a4abd22d8.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/ea7e8555-9481-4ebb-9585-dc9a4abd22d8.jpg Bataille des plaines d’Abraham
  • Article

    Bathurst

    Bathurst, Nouveau-Brunswick, constituée en tant que ville en 1966; population : 11 897 habitants selon le recensement de 2016; 12 275 habitants selon le recensement de 2011. La ville de Bathurst au Nouveau-Brunswick est située en bordure du Havre de Bathurst, un estuaire où la rivière Nepisiguit rejoint la baie des Chaleurs. Bathurst est le centre administratif, commercial, culturel et éducatif du Nord-Est du Nouveau-Brunswick. La ville fait partie, conjointement avec les municipalités de Beresford, Nigadoo, Petit-Rocher, Pointe-Verte et Belledune, de la Commission de services régionaux Chaleur. Elle est située à proximité de la Première Nation de Pabineau.

    "https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/98212d1b-3593-4078-b72a-e3ae82fa3c5d.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.php
    
    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/98212d1b-3593-4078-b72a-e3ae82fa3c5d.jpg Bathurst