Provinces et territoires | l'Encyclopédie Canadienne

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    Île-du-Prince-Édouard

    L’Île-du-Prince-Édouard est la plus petite province canadienne, constituant à peine 0,1 % de la superficie terrestre totale du Canada. Elle est située dans le Golfe du Saint-Laurent et est séparée de la Nouvelle‑Écosse et du Nouveau-Brunswick par le détroit de Northumberland. Ses premiers habitants, les Mi’kmaq l’appellent Abegweit, ce qui signifie « berceau dans les vagues », et Jacques Cartier en 1534 dit d’elle que c’est « la terre la plus belle que l’on puisse imaginer ». Le sol rougeâtre a toujours représenté la principale caractéristique de l’Île-du-Prince-Édouard et, avec la mer, le pilier de la population depuis le début du XVIIIe siècle.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/52a0fff7-104a-49cf-a3a8-f815e9e93b5b.jpg Île-du-Prince-Édouard
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    La caravane des peuples autochtones

    La caravane des Autochtones, une manifestation de contestation politique, ayant pris, en1974, la forme d’une traversée du pays, avait pour objectif principal de sensibiliser le public aux mauvaises conditions de vie des Autochtones au Canada et aux discriminations dont ils étaient victimes. Partie de Vancouver, elle est arrivée à Ottawa, où elle a occupé, par la suite, un entrepôt vide sur l’île Victoria, près de la colline du Parlement, jusqu’en1975. Elle réunissait divers groupes autochtones protestant contre le non‑respect des traités, ainsi que contre les lacunes gouvernementales en matière de financement de l’éducation, du logement et des soins de santé. Elle aura permis d’accroître la fréquence des réunions entre les ministres du Cabinet et les dirigeants autochtones et restera dans les mémoires comme un tournant important de l’activisme autochtone au Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e9e4a925-a033-404d-9819-a3bb46fe9c8e.jpg La caravane des peuples autochtones
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    La Colombie-Britannique et la Confédération

    La colonie de Colombie-Britannique a été fondée en 1858 en réponse à la ruée vers l’or du fleuve Fraser. (Voir aussi La ruée vers l’or du fleuve Fraser et la création de la Colombie-Britannique.) La colonie a établi un gouvernement représentatif en 1864 et a fusionné avec la colonie de l’île de Vancouver en 1866. En mai 1868, Amor DeCosmos a formé la Ligue de la Confédération afin d’instaurer un gouvernement responsable en Colombie-Britannique et de joindre la province à la Confédération. En septembre 1868, la Ligue de la Confédération a adopté 37 résolutions décrivant leurs conditions en vue d’une union avec le Dominion du Canada. Ces conditions ont été adoptées par l’Assemblée de la Colombie-Britannique et le Parlement fédéral en 1871. La colonie a donc rejoint le Canada en tant que sixième province du pays le 20juillet 1871. La menace d’une annexion américaine concrétisée par l’achat de l’Alaska en 1867 et la promesse d’un chemin de fer reliant la Colombie-Britannique au reste du Canada ont été des facteurs décisifs dans cette décision.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/1f3712f0-f1ac-4fba-a093-ff4c7cfec856.jpg La Colombie-Britannique et la Confédération
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    La Nouvelle-Écosse et la Confédération

    La Nouvelle-Écosse est l’une des quatre provinces fondatrices du Canada. Elle a rejoint le Nouveau-Brunswick, l’Ontario et le Québec dans la Confédération le 1er juillet 1867. Toutefois, cette union est principalement due au fait que la Confédération a livré le chemin de fer Intercolonial aux Maritimes, et grâce aux efforts de sir Charles Tupper. Son gouvernement a en effet approuvé la Confédération au sein de la législature coloniale malgré l’opposition populaire. (Voir Les adversaires de la Confédération.) La Confédération a suscité des protestations de masse dans la colonie. Joseph Howe dirige notamment un effort de deux ans pour abroger l’union. (Voir Mouvement sécessionniste.) Ce dernier a toutefois décidé qu’il aiderait mieux sa province en travaillant au sein du gouvernement fédéral, dont il rejoint le cabinet en 1869.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/7b457631-bb6e-40ee-bf61-fab12a06fb6d.jpg La Nouvelle-Écosse et la Confédération
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    La résistance et les pensionnats indiens

    Les pensionnats indiens étaient des écoles religieuses qui étaient parrainées par le gouvernement et que de nombreux enfants autochtones ont été forcés de fréquenter. Elles ont été instaurées afin d’assimiler les enfants autochtones à la culture euro-canadienne. Les enfants et les parents autochtones n’ont pas simplement accepté le système des pensionnats indiens. Les peuples autochtones se sont battus contre l’État, les écoles et d’autres principaux intervenants du système, et s’y sont également impliqués. Pendant la durée de l’ère des pensionnats indiens, les parents ont agi dans l’intérêt de leurs enfants et de leurs communautés. Les enfants ont réagi de manière à pouvoir survivre.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/ResistanceandResidentialSchools/a101771-v8.jpg La résistance et les pensionnats indiens
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    La Terre de Rupert

    La Terre de Rupert était un vaste territoire de contrées sauvages. Il représentait un tiers de ce qu’est le Canada d’aujourd’hui. De 1670 à 1870, ce territoire était une propriété exclusive de la Compagnie de la Baie d’Hudson et le principal terrain de piégeage de la traite des fourrures. Trois ans après la Confédération, le gouvernement du Canada paye 1,5 million de dollars (300 000 livres) à CBH pour la Terre de Rupert. C’est la plus importante transaction immobilière en superficie dans l’histoire du pays. L’achat de la Terre de Rupert a géographiquement transformé le Canada. Ce pays modeste, situé au nord-est du continent, est devenu un vaste pays traversant l’Amérique du Nord. La Terre de Rupert a éventuellement été divisée entre le Québec, l’Ontario, le Manitoba, la Saskatchewan, l’Alberta et les and the Territoires de Nord-Ouest.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/2e0091d5-aa3e-4656-b4b6-2a1948aff9d7.jpg La Terre de Rupert
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    Labrador

    Les Monts Torngat, les sommets les plus élevés à l'est des Rocheuses, se dressent au nord, dans une isolation splendide. Bien que le Labrador soit situé à la même latitude que les îles Britanniques, il est très peu habité en raison de ses terres inhospitalières et de son climat extrême.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/697bba1d-7d03-4ef3-aa0b-5ac5d05a02bc.jpg Labrador
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    Canada-Ouest

    En1841, la Grande‑Bretagne réunit les colonies du Haut‑Canada et du Bas‑Canada pour former la Province du Canada. Cette décision est prise en réponse aux violentes rébellions de1837‑1838. Le rapport Durham de1839 formule un certain nombre de recommandations en vue de créer une nouvelle colonie qui sera effectivement mise en place, en1840, dans le cadre de l’Acte d’Union. La Province du Canada est composée du Canada‑Ouest (anciennement le Haut‑Canada) et du Canada‑Est (anciennement le Bas‑Canada). Jusqu’en1867, date de naissance de la Confédération qui verra le Canada‑Ouest devenir l’Ontario et le Canada‑Est le Québec, les deux régions sont gouvernées conjointement.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Canada-Ouest
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    Le Nouveau-Brunswick et la Confédération

    Le Nouveau-Brunswick est devenu l’un des membres fondateurs du Dominion du Canada le 1er juillet 1867. Il a ainsi rejoint la Nouvelle-Écosse, l’Ontario et le Québec dans la Confédération. Arthur Hamilton Gordon, lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick, a participé à l’organisation de la Conférence de Charlottetown (du 1er au 9 septembre 1864), où il a été question pour la première fois d’une union fédérale des colonies de l’Amérique du Nord britannique. En 1865, cependant, la majorité de l’Assemblée législative du Nouveau-Brunswick s’y oppose. Cette année-là, Albert Smith a battu le premier ministre pro-Confédération Samuel Tilley lors d’une élection éclair. Les raids des fenians en 1866, toutefois, ont alimenté le sentiment d’insécurité du Nouveau-Brunswick et renforcé le soutien à la Confédération. Après que le parti de Tilley ait remporté une autre élection en 1866, la législature a voté à 38 contre 1 en faveur de la Confédération.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/bb8000df-c2b6-4d69-821d-db39907e5078.jpg Le Nouveau-Brunswick et la Confédération
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    Les expériences des Inuits dans les pensionnats indiens

    Les pensionnats indiens étaient des écoles religieuses parrainées par le gouvernement et créées dans le but d’assimiler les enfants autochtones à la culture euro-canadienne. Les pensionnats du Nord étaient dirigés par des missionnaires depuis déjà environ un siècle lorsque le gouvernement fédéral commence à ouvrir de nouvelles et soi-disant modernes institutions dans les années 1950. Ces institutions ouvrent leurs portes moins d’une décennie après que le Comité mixte spécial (voir Droit de vote des peuples autochtones) déclare le système inefficace. Les recommandations du comité mènent finalement à la fermeture des pensionnats indiens à travers le pays.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/InuitResidentialSchool/Inuit-Residenital-School (Library and Archives Canada_PA-042133).jpg Les expériences des Inuits dans les pensionnats indiens
  • Article

    Les expériences des Métis dans les pensionnats indiens

    Bien que les premiers pensionnats indiens du Canada aient été créés dans l’intention d’assimiler les enfants des Premières Nations à la culture euro-canadienne, les enfants métis et inuits ont également été placés dans ces établissements. Les enfants métis vivaient des conditions quotidiennes semblables aux autres élèves des pensionnats, mais ils étaient souvent considérés comme des marginaux par leurs pairs et les administrateurs. Cette perception a affecté leurs expériences au sein de ces institutions de diverses façons particulières.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/MetisExperiences/Webp.net-resizeimage.jpg Les expériences des Métis dans les pensionnats indiens
  • Éditorial

    Éditorial : L’arrivée des loyalistes noirs en Nouvelle-Écosse

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. « La liberté et une ferme. » La promesse est attrayante pour des milliers d’Afro-Américains qui se sont battus dans des régiments britanniques lors de la Révolution américaine (1775-1783) et qui cherchent à fuir l’esclavage. Suivant la guerre, ils se joignent à des dizaines de milliers de loyalistes, des réfugiés américains s’étant battus aux côtés des Britanniques. Entre 80 000 et 100 000 loyalistes en viennent à fuir les États-Unis. Près de la moitié d’entre eux se rendent en Amérique du Nord britannique. Les vagues principales arrivent en 1783 et 1784. Le territoire qui comprend aujourd’hui les provinces maritimes devient le domicile de plus de 30 000 loyalistes. Les colons décident alors de s’installer principalement sur les côtes de la Nouvelle-Écosse, au Cap-Breton et à l’Île-du-Prince-Édouard (alors nommée l’Île-Saint-Jean).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/be13527b-b76d-408a-afca-30acbd4f7bfc.png Éditorial : L’arrivée des loyalistes noirs en Nouvelle-Écosse
  • Article

    Les Territoires du Nord-Ouest et la Confédération

    Les Territoires du Nord-Ouest (TNO) sont entrés dans la Confédération après que la Compagnie de la Baie d’Hudson ait cédé la Terre de Rupert et le Territoire du Nord-Ouest au Canada en 1870. Après la création de nouvelles provinces et de nouveaux territoires, les TNO n’occupent aujourd’hui qu’une fraction des terres acquises en 1870.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/a08da9c3-b38b-4f80-a425-a29b706528af.jpg Les Territoires du Nord-Ouest et la Confédération
  • Article

    Lillian Elias

    Lillian Elias (dont le nom Inuvialuktun est Panigavluk), OTN-O, enseignante, activiste linguistique (née en 1943, dans le delta du Mackenzie, dans les Territoires du Nord-Ouest). Influencée par le temps qu’elle a passé dans un pensionnat autochtone, où les administrateurs ont tenté de la dépouiller de force de sa langue et de sa culture, Lillian Elias a passé une grande partie de sa vie à promouvoir et préserver sa langue maternelle, l’inuvialuktun (voir Inuvialuit).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/LillianElias/Lillian Elias_Screencap.jpg Lillian Elias
  • Article

    Maisie Hurley

    Maisie Hurley, née Maisie Amy Campbell-Johnston, militante de la région de Vancouver et alliée autochtone (voir Peuples autochtones du Canada), fondatrice de journal et collectionneuse d’art (née le 27 novembre1887 à Swansea, pays de Galles; morte le 3 octobre1964 à North Vancouver, Colombie-Britannique). Bien qu’elle ne possédait aucun diplôme ou formation en droit (voir Éducation juridique), elle a travaillé sur plusieurs affaires judiciaires, elle a défendu les droits fondamentaux des Autochtones et milité pour des changements à la Loi sur les Indiens. En 1946, Maisie Hurley a lancé un journal, TheNative Voice, destiné à sensibiliser l’opinion publique à des enjeux importants touchant les communautés autochtones du Canada (voir Droits des peuples autochtones au Canada). En 2011, sa collection d’art autochtone a été exposée au musée de North Vancouver.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Untitled-11.jpg Maisie Hurley