Peuples autochtones | l'Encyclopédie Canadienne

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  • Article

    Ksan

    Ksan (ou ‘Ksan) est un village historique, un musée et un terrain de camping, détenu et exploité par la bande de Gitanmaax. Il est situé à la jonction des rivières Skeena et Bulkley, à Hazelton, en Colombie‑Britannique. Ksan est créé en 1970 pour promouvoir et préserver la culture et l’histoire gitksan.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/2fd73ae3-5ed7-4894-b6ae-caa2ac25e639.jpg Ksan
  • Article

    Kwakwaka’wakw (Kwakiutl)

    Les Kwakwaka’wakws forment un peuple qui occupe traditionnellement les régions côtières du nord-est de l’île de Vancouver et le centre de la Colombie-Britannique. Le recensement de 2016 dénombre 3 670 personnes se disant d’ascendance kwakwaka’wakw.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/0f3f1bc5-ec8b-4f16-b0a3-4f0f553a5cca.jpg Kwakwaka’wakw (Kwakiutl)
  • Article

    La résistance de Kanesatake (la crise d’Oka)

    La résistance de Kanesatake, connue aussi sous le nom de crise d’Oka ou de « résistance mohawk à Kanesatake », a vu des manifestants kanyen’kehà:ka (mohawks) affronter, pendant 78 jours, du 11 juillet au 26 septembre 1990, la police du Québec, la GRC et l’armée canadienne. Elle s’est déroulée sur le territoire de la collectivité de Kanesatake, près de la ville d’Oka, sur la rive nord de Montréal. Des manifestations et des violences connexes se sont produites sur la réserve de Kahnawake, au sud de Montréal. La crise a été déclenchée par un projet d’expansion d’un terrain de golf et de construction de maisons en rangée, sur des terres faisant l’objet d’un litige, à Kanesatake, sur lesquelles se trouvait, notamment, un cimetière kanyen’kehà:ka. Les tensions ont été vives, notamment après le décès du caporal Marcel Lemay, un policier de la Sûreté du Québec. Finalement, l’armée a été sollicitée et les manifestations de protestation ont pris fin. L’agrandissement du terrain de golf a été annulé et les terres ont été acquises par le gouvernement fédéral. Cependant, elles n’ont pas été établies en tant que réserve, et n’ont toujours pas fait l’objet d’un transfert officiel aux Mohawks de Kanesatake. Ce texte est l’article intégral sur la résistance de Kanesatake (la crise d’Oka). Si vous souhaitez lire un résumé en langage simple, veuillez consulter l’article La résistance de Kanesatake (la crise d’Oka) (résumé en langage simple).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/OkaCrisis/1990_C_35_7 (003).jpg La résistance de Kanesatake (la crise d’Oka)
  • Chronologies

    La Loi sur les Indiens

    La Loi sur les Indiens est la principale loi par l’entremise de laquelle le gouvernement fédéral gère le statut d’Indien, les gouvernements locaux des Premières Nations, les terres des réserves et les fonds communautaires. La Loi sur les Indiens ne concerne ni les Métis ni les Inuits. La Loi est entrée en vigueur le12avril1876. Elle consolidait un certain nombre de textes législatifs coloniaux antérieurs, visant tous à contrôler et à assimiler les peuples autochtones dans...

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/cbcd31d1-03f6-4fba-a45d-96ee89c4617d.jpg La Loi sur les Indiens
  • Article

    Marie-Anne Lagimodière

    Marie-Anne Lagimodière (née Gaboury), pionnière (née le 2 août 1780 à Maskinongé au Québec; décédée le 14 décembre 1875 à Saint-Boniface, au Manitoba). Marie-Anne a accompagné son mari Jean-Baptiste Lagimodière, commerçant de fourrures à la région que l’on connaît aujourd’hui comme l’Ouest canadien, où elle était l’une des premières femmes d’origine européenne. Ils sont devenus deux des premiers colons de la rivière Rouge. Marie-Anne Lagimodière était la grand-mère de Louis Riel, chef métis de la Rébellion de la rivière Rouge.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Lagimodieres.jpg Marie-Anne Lagimodière
  • Article

    Larry Grant (sʔəyəɬəq)

    Larry Grant (aussi connu sous les noms de sʔəyəɬəq [suh‑yuh‑shl‑uck] et de Hong Lai Hing), conteur, aîné musqueam, éducateur en hən̓q̓əmin̓əm̓, une langue autochtone en voie de disparition (né le 1er septembre 1936, à Agassiz, en Colombie‑Britannique). Larry Grant, d’ascendance musqueam et chinoise, a grandi sur le territoire des Musqueam à l’embouchure du fleuve Fraser. Le territoire non cédé des Musqueam englobe la ville actuelle de Vancouver, s’étendant jusqu’au ruisseau Harvey au nord et au fleuve Fraser à l’est. Après avoir pris sa retraite en tant que débardeur, Larry Grant a consacré sa vie à promouvoir la connaissance de la langue hən̓q̓əmin̓əm̓ et de son importance culturelle. Il est également professeur auxiliaire et aîné‑résident à l’Université de la Colombie‑Britannique. Il est reconnu comme un leader communautaire qui favorise le dialogue et la compréhension de l’histoire et de la langue musqueam en Colombie‑Britannique.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/LarryGrant/Elder_Larry_Grant_web.jpeg Larry Grant (sʔəyəɬəq)
  • Article

    Autonomie gouvernementale des Autochtones

    L’autonomie gouvernementale des Autochtones est la structure officielle grâce à laquelle les communautés autochtones peuvent contrôler l’administration de leurs membres, de leurs terres, de leurs ressources et des programmes et politiques connexes par l’intermédiaire d’ententes passées avec les gouvernements fédéral et provinciaux.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/1eef3d08-4031-40d3-bbd4-6443822cd128.jpg Autonomie gouvernementale des Autochtones
  • Article

    Jeannette Corbiere Lavell

    Jeannette Vivian Corbiere Lavell (surnommée Keewednanung, « Étoile du Nord » en langue anishinaabe), C.M., militante, éducatrice et travailleuse sociale (née le 21 juin 1942 à Wikwemikong, en Ontario). Jeannette Corbiere Lavell, une Anishinaabe (Ojibwé), a été l’une des plusieurs femmes autochtones à sensibiliser le public par rapport à la discrimination fondée sur le sexe à laquelle les femmes des Premières Nations doivent faire face en raison de leur statut défini par la loi, plus précisément à l’article 12(1)(b) de la Loi sur les Indiens. Ses efforts se sont avérés essentiels pour la révision des aspects patriarcaux (c’est-à-dire traduisant la domination des hommes) du code législatif canadien.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/2ea39e9a-9c51-4398-a837-30842473adce.jpg Jeannette Corbiere Lavell
  • Article

    Le Rapport Penner

    Le rapport Penner est un rapport préparé par le Comité spécial de la Chambre des communes sur l’autonomie politique des Indiens. Il est publié en novembre 1983. Portant le nom du président du comité Keith Penner, le rapport propose une série de recommandations. Ces recommandations mettent en avant le concept d’autonomie des Premières Nations. Dans ce contexte juridique, les membres des Premières Nations sont considérés comme des Indiens inscrits en vertu de la Loi sur les Indiens.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/1eef3d08-4031-40d3-bbd4-6443822cd128.jpg Le Rapport Penner
  • Article

    Les femmes autochtones et le droit de vote

    Le contexte du droit de vote pour les femmes autochtones a été autant influencé par le colonialisme que par la discrimination fondée sur le sexe. Les femmes autochtones (membres des Premières Nations, des Métis et des Inuits) ont obtenu le droit de vote à différents moments de l’histoire canadienne. Le processus a été associé à l’émancipation, volontaire ou non, ce qui signifie que les femmes autochtones pouvaient bénéficier des droits de vote et de citoyenneté canadienne au détriment de leurs droits ancestraux ( voir Droit de vote des peuples autochtones).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/2617aa3c-9753-4851-b870-a29783e97387.jpg Les femmes autochtones et le droit de vote
  • Article

    Les femmes et la traite des fourrures

    En 1639, un Algonquin déclarait au jésuite missionnaire Paul Le Jeune : « Vivre parmi nous sans femme, c’est vivre sans aide et sans foyer et être condamné à une errance permanente. » S’il est vrai que l’importance d’avoir un foyer et une femme ne voulait peut‑être plus dire grand‑chose pour ce prêtre jésuite, itinérant et célibataire, pour de nombreuses Premières Nations, cette citation évoque les avantages sociaux, économiques et politiques du mariage, en particulier dans le contexte de la traite des fourrures. Les femmes autochtones fabriquent et raccommodent les vêtements, conservent les viandes, récoltent le sucre d’érable et des légumes racines comme les navets, piègent le petit gibier, attrapent les poissons avec des filets et cultivent le riz sauvage, toute une palette d’activités absolument essentielles pour la survie et la subsistance dans les forêts boréales, les terres boisées des prairies et les plaines nordiques où vivent les sociétés de la traite des fourrures. Les mariages entre les clans (voir Clan) permettent aux femmes des Premières Nations, dans le contexte d’un vaste monde autochtone interconnecté, de forger des lignées de parenté étendues, d’établir des obligations sociales et des liens réciproques et de négocier l’accès à des ressources communes et leur utilisation. Les mariages entre différents villages, différents clans et différentes Premières Nations façonnent la politique régionale, encouragent les alliances matrimoniales latérales et créent un réseau de parenté étendu géographiquement diversifié, sur l’ensemble du territoire des bassins versants des Grands Lacs et du Saint‑Laurent ainsi que de la baie d’Hudson et de la côte du Pacifique (voir L’océan Pacifique et le Canada).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/WomenFurTrade/TrappersWifeCropped.jpg Les femmes et la traite des fourrures
  • Article

    Haudenosaunee (Iroquois)

    Les Haudenosaunee, ou « peuple des maisons longues », communément appelés « Iroquois » ou « Six Nations », sont membres d’une confédération appelée « Confédération Haudenosaunee ».

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/c78ecb73-d7ac-4834-bc1e-a6d6bf206331.jpg Haudenosaunee (Iroquois)
  • Collection

    Inuit

    Cette collection étudie la culture, l’histoire et la société inuites au moyen d’expositions, d’images, de vidéos et d’articles. Ces sources illustrent également l’importance des terres de l’Arctique, des animaux et de l’environnement pour l’identité inuite et la vie dans le Nord.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/homepage_features/Inuit2.jpg Inuit
  • Éditorial

    Les Métis sont un peuple, pas un processus historique

    Afin de promouvoir une meilleure compréhension de la question complexe de l’identité métisse et de son évolution au fil du temps, L’Encyclopédie canadienne a commandé deux articles d'opinion qui explorent différentes perspectives liées à ce sujet. Cet article se penche sur l’identité métisse selon le point de vue des Métis ayant des liens ancestraux avec la colonie de la rivière Rouge. Pour une autre perspective sur l'identité métisse, voir Les « autres » Métis.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/cbb299c8-c0b7-460c-add9-2e245342dc9b.jpg Les Métis sont un peuple, pas un processus historique
  • Article

    Les mots en inuktitut pour la neige et la glace

    On entend souvent dire que les Inuits ont des dizaines de mots pour désigner la neige et la glace. L'anthropologue John Steckley, dans son ouvrage White Lies about the Inuit (2007) a fait remarquer que le total le plus souvent cité est de 52 termes différents en inuktitut. Cette croyance en un nombre élevé de mots pour « neige » et « glace » a ensuite été vertement critiquée par bon nombre de linguistes et d'anthropologues.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/1c4db935-fcf6-4b0d-a8f4-7ab6c8a30a3c.jpg Les mots en inuktitut pour la neige et la glace